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8 juillet 2010 4 08 /07 /juillet /2010 00:21

 

Pas grand-chose à raconter sur ce village mais c’est celui que j’ai trouvé le plus sympathique sur la route du retour vers Victoria.

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C’est assez touristique mais contrairement à des villes comme Tofino, il s’agit plutôt d’un tourisme local et d’habitants de Vancouver.

Ces petites maisons flottantes ne sont pas généralisées dans la région mais tout de même assez fréquentes.

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Ces petits bateaux sont faits pour pousser les billots de bois dans l'eau.

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5 juillet 2010 1 05 /07 /juillet /2010 00:02

Strathcona Provincial Park est le plus grand et le plus ancien des parcs de l’île de Vancouver. A l’intérieur de l’île, il permet outre des sorties en forêt (original !!!), de profiter de ses sommets montagneux, et d’avoir ainsi de superbes panoramas et de dépasser le stade de la forêt.

Quel itinéraire choisir ? Un peu au-hasard, j’ai choisi celui-ci car il propose une observation de la flore subalpine, donc ça veut dire dépasser l’étage forestier et ca tombe bien, car la forêt, un peu marre!

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Seulement voilà, le départ du sentier est à 300 m. d’altitude, donc de la forêt, j’en ai eu pendant les 3 premières heures de grimpette.

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Mais quand celle-ci à commencer à s’ouvrir, je me suis retrouvé dans la neige. Au début, pas facile de toujours trouver le sentier.

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Un petit moment de stress avant d’identifier le  wapiti  qui faisait ce raffut.

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Et pour être honnête, c’était un peu casse-cou par moment, (je suis tombé deux fois au retour)

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et arrivé à un moment, il y  avait tellement de neige qu’impossible de distinguer le sentier.

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J’ai donc fixé un point culminant et j’y suis allé. On est à environ 1500 mètres d’altitude. Il y a entre 1.60 m et 1.80 m de neige mais la vue est superbe et en plus le soleil a bien voulu être présent (ce qui fut rare lors de mon séjour sur l’île).

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Bon, il n’y a plus qu’à redescendre car la voiture est au niveau du lac !

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3 juillet 2010 6 03 /07 /juillet /2010 00:25

 

La topographie de l’île de Vancouver avec ses montagnes qui bloquent les nuages venant du Pacifique entraîne des précipitations abondantes sur la côte occidentale de l’île. (De l’ordre de 3200 mm/an dans le secteur du Pacific Rim).  L’association de ces précipitations, de brumes, et d’hivers doux a favorisé le développement d’une forêt exceptionnelle.

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Des pins de Douglas, des cèdres rouges, des pruches, des séquoias…, des arbres centenaires, voir millénaires aux dimensions hors normes : 50 à 80 mètres de haut, des troncs qui font de 2 à 4 mètres de circonférence et toute une végétation qui prend place sur et autour de ces arbres.

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Alors bien évidemment, l’industrie forestière a fait des ravages dans ces arbres et on trouve des secteurs avec ces écosystèmes mais il s’agit de poches car même si l’île est couverte de forêt, la quasi-totalité résulte de plantations suite à des coupes à blanc. Et même si les plantations anciennes (un siècle) présentent des arbres imposants (en hauteur), l’environnement n’est aucunement comparable et ces exploitations forestières sont très vite monotones.  

Dans cet écosystème, je vous le dis, c’est un vrai bonheur de randonner en solo.

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Car outre l’atmosphère très particulière qui se dégage de ces lieux, à chaque début de randonnée, il y a de jolis panneaux qui vous rappellent la présence d’ours noir, de cougars et de loups gris !!!    

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2 juillet 2010 5 02 /07 /juillet /2010 00:07

Voilà ma destination la plus occidentale dans ce pays.

Cette île est considérée par beaucoup comme un joyau de la nature donc il fallait que je vienne ici.

Je vais être tout à fait honnête, même si j’ai vu des choses impressionnantes et même si c’est effectivement un paradis pour les amateurs de nature, ce n’est pas ma destination préférée du voyage.

Cette île montagneuse est grande, 460 km de long, 80 km de large, et en très grande partie, couverte de forêt de résineux.

Assez peu peuplée, environ 800 000 habitants dont la moitié habite dans les environs de Victoria, la capitale de la Colombie-Britannique au sud de l’île. Le sud de l’île est donc occupé par cette  grande conurbation et si on excepte la ville de Victoria, les autres villes, sans charme particulier, affichant désespérément les mêmes enseignes de magasins.

Une fois que vous avez quitté cette région, les villes et villages deviennent de moins en moins nombreux et la route, très monotone, se fait longue. Arrivé au nord, à Port Hardy, si vous voulez poussez plus loin, il faut emprunter les routes gravillonnées et avec une voiture de location (c’est interdit) autant vous dire que vous trouvez le temps long, très long au milieu d’un paysage de forêt qui semble être toujours le même. Si vous n’avez pas un pick-up, comptez 3 h pour faire 60 km dans ce secteur.

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Alors oui, quand vous arrivez au bout, à Cape Scott. La nature s’offre à vous. Et ici la nature, elle implique d’être plutôt en groupe (ours, loups, cougars…), d’être bien équipé (équipements imperméables), pour partir faire de la grande randonnée. J’ai fait 600 km pour quelques 6 kilomètres de randonnée dans la forêt pluviale.

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Toujours au nord, de l’autre côté de l’île, Telegraphe Cove, l’attraction touristique du coin. C’est mignon mais à moins d’avoir son bateau et d’aller pêcher le saumon. Pas la peine de faire le détour, sauf si on veut payer pour aller voir les baleines, faire du kayak...

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L’économie locale est essentiellement axée sur l’industrie forestière et le bois est transporté par voie maritime. Les billots sont  regroupés pour former des lots de 120 mètres de long et ensuite acheminés vers le sud de l’île ou Vancouver.

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A l’intérieur de l’île, rien où presque. Quelques villes, villages au milieu de nulle part liées à l’industrie forestière et des parcs provinciaux pour les amateurs de montagne.

Pour randonner, il faut aller dans le secteur le plus touristique de l’île. Face au Pacifique, le secteur du Pacific Rim entre Tofino et Ucluelet où le réseau de sentiers est plus développé, tous les autres secteurs de forêt pluviale implique des accès routiers limités et des randonnées de plusieurs jours.

Mais quand on est dans  ce secteur, une fois vue la forêt pluviale, on a surtout envie d’aller sur l’eau et de se promener au milieu des myriades d’îles et d’îlots qui se trouvent dans le détroit de Clayoquot (pour Tofino) ou les Broken’s Island (pour Ucluelet).

Seulement voilà, soit on est du coin, et on a son bateau, son kayak et là, je pense que le paradis naturel vanté est bien réel mais si on est de passage, alors il faut jouer la version touriste américain car les prix pratiqués pour les locations ramènent vite votre enthousiasme à la température de l’eau du Pacifique (entre 3 et 12° C) !

Bon, je vous rassure, j’ai quand même vu des choses vraiment sympas.

Je m’excuse, il y a quelques répétitions avec les articles précédents mais cela est griffoné rapidement et je n’ai pas toujours le temps de tout reprendre.

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1 juillet 2010 4 01 /07 /juillet /2010 00:11

 

La place où il faut aller quand on est sur l’île de Vancouver. Enfin, c’est ce que tout le monde dit.

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Tofino, en rose, à gauche et Ucluelet, en rose, à droite.

Situé à peu près au centre de l’île, donnant sur le Pacifique, ce secteur est avant tout un joyau naturel dont la partie Nord, le détroit de Clayoquot, au départ de Tofino, a été classé patrimoine mondial de la biosphère.

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Au sud de ce secteur, à proximité d’Ucluelet, c’est la myriade d’îles des Broken’s Islands et entre les deux, la réserve du Parc National du Pacific Rim.

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Pour les deux premiers secteurs cités, cela fait parti des frustrations du voyage car sans moyen de locomotion maritime, pas d’accès ! Donc à 120 $ les 6 heures de kayak, autant vous dire qu’on préfère ne pas avoir trop de pluie mais surtout un minimum de visibilité. Ce qui n’a pas été le cas pendant mon séjour donc j’ai fait d’autres choses. Mais il faut savoir que dans le secteur, un bon budget aide !

Mais outre ces joyaux naturels, ces villes et surtout Tofino sont connues pour être des anciens fiefs hippies. Il en résulte une atmosphère particulière qui aujourd’hui tourne autour d’une ambiance nature-surf-no stress. La population autochtone est assez présente mais je ne peux juger des relations entre les communautés.

J’ai surtout passé du temps dans la réserve du Pacific Rim.

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Les plages font très carte postale : quelques rouleaux, des surfeurs, la brume du Pacifique et la forêt en arrière-plan. Bon !

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Il reste la forêt mais même si la végétation est impressionnante, cela manque un peu de faune et de flore.

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Le geai de Steller, emblème de la Colombie-Britannique

Mais comme en règle générale, on ne tient pas à tomber nez à nez avec la faune locale, sacré dilemme ! Mais la végétation est aussi carnivore (Drosère).

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30 juin 2010 3 30 /06 /juin /2010 00:05

Avec un nom pareil, vous vous doutez bien que la capitale de la Colombie-Britannique n’a pas tout à fait coupé les ponts avec la royauté britannique. Il flotte donc dans les rues un petit parfum so british dans un environnement nord-américain.

Cette ville, base de la flotte navale pacifique du Canada, affiche quelques beaux bâtiments dans un ensemble baigné par les eaux du Pacifique.

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La ballade est agréable dans ces rues même si il manque un petit supplément d’âme. Le fisherman’s wharf, légèrement excentré du centre, a peut-être ce petit charme supplémentaire.

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Le centre fait face à une série de nouvelles résidences huppées. Pas particulièrement attrayant, le centre ville comprend quelques rues qui ont préservé le style du début XXe et un grand boulevard qui suscite l’indifférence.

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Le quartier chinois, le plus ancien du Canada, souffre de la comparaison avec Vancouver.

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Ni charmante mais non désagréable, Victoria offre son plus beau profil depuis son parc où au pied du plus haut totem s’ouvre une vue magnifique sur les Etats-Unis.

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29 juin 2010 2 29 /06 /juin /2010 00:31

 

Vous êtes un citadin, alors, ici, c’est une certaine idée de votre paradis.

Vancouver, c’est le compromis entre la ville et la nature. Ce qui frappe quand on arrive en ville, ce sont bien évidemment ces tours mais contrairement aux autres villes canadiennes traversées jusqu’à maintenant, ici, les tours de bureaux sont noyées dans les tours d’habitations.

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Il en résulte un centre-ville animé, grouillant de vie où les transports en commun rivalisent avec les transports individuels mais ici, c’est plus vélo, rollers, marche à pied même si la voiture reste présente.

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L’autre fait marquant de cette ville, c’est la nature. La végétation se glisse dans chaque rue, sur les toits de certains immeubles et le parc Stanley, avec ses 400 hectares et sa végétation luxuriante (des hivers doux et des précipitations abondantes), est le poumon vert de cette ville baignée par les eaux du Pacifique.

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Vancouver est une jeune, à l’image de sa population. La ville est donc animée.

Quand on se ballade, on entend  un peu toutes les langues car 40 % de sa population n’est pas née au Canada.

Le centre-ville présente plusieurs visages :

Le cœur « historique », Gastown, est assez touristique et branché.

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Robson street est la grande artère commerciale. Une suite de boutiques dans laquelle s’intercalent des fast-foods et autres coffee shop.

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Image classique d’une ville européenne mais plus iconoclaste dans ce pays adepte des centres commerciaux. Ailleurs, les rues oscillent entre une ambiance alternative et bohème. Dans l’ensemble, la ville rentre assez bien dans la case bobo.

Vancouver, c’est bien évidemment son Chinatown, l’un des plus importants en Amérique de Nord. Près de la moitié de la population est d’origine asiatique.

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Coincé entre Gastown, Chinatown et le centre-ville, quelques blocs d’immeubles où l’ambiance change radicalement : Eastside Downtown. L’une des plus importantes poches de pauvreté en milieu urbain au Canada.

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Je me suis retrouvé en plein cœur du quartier au moment de la distribution de la soupe populaire. Univers de drogues, de prostitutions qui profitent aux marchands de sommeil du quartier.

Violent par rapport au reste de la ville, violent pour moi qui passe beaucoup de temps dans la nature.

Enfin,  Vancouver, c’est d’abord un port qui alimente une bonne partie du Canada. Dans le magasin de jouets où j’ai travaillé à Québec, la quasi-totalité des produits vendus étaient Made in China. Tous les cartons avaient transité par le port de Vancouver avant d’être acheminés par le ferroutage.

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Voilà un aperçu rapide de Vancouver mais j’imagine que tout ça, c’est du déjà-vu, déjà entendu dans les reportages qui ont du être fait sur la ville hôte des Jeux Olympiques d’hiver 2010.

En ce qui me concerne, maintenant que j’ai humé le Pacifique, il ne me reste plus qu’à aller voir le soleil se coucher dans ses eaux. Pour ça, je quitte le continent et direction l’île de Vancouver

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28 juin 2010 1 28 /06 /juin /2010 00:20

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Le relief montagneux constitue souvent un obstacle infranchissable entre l’Alberta et la Colombie-Britannique. Quatre passages possible dans les Rocheuses, donc autant de passage à faire.

La voie la plus empruntée passe par le Kicking Horse Pass (1647 m. d’alt.). Il s’agit du passage de la Transcanadienne et on bascule des paysages du parc national de Banff à ceux du parc national de Yoho.

Un peu plus au sud, par la route 93, le Vermillion Pass (1640 m. d’alt.) m’a fait passer du Parc national des Kootenay à celui de Banff et à surtout eu le mérite de bloquer la pluie.

La voie la plus méridionale, c’est par la Crownest Pass (1396 m.d’alt.). C’est en empruntant cette route que j’ai pu observer une faune abondante (en particulier des wapitis) mais ce qui marque les esprits, c’est le Frank Slide. Autrement dit,  un glissement de terrain.

Au petit matin, à 4 h 10, le 29 avril 1903, un pan de la Turtle Mountain s’est décroché : 1 kilomètre de large, 425 mètres de long, 150 mètres de haut.

En envahissant la vallée, les rochers vont détruire la voie ferrée, une partie du village minier de Franck, et tuer environ 70 personnes.

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Les amérindiens nommaient la Turtle Mountain,  « la montagne qui bouge». Elle continue toujours de bouger de quelques millimètres par an.

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Difficile de retranscrire sur les photos cette vision de chaos qui se dégage du site, plus d’un siècle après.  

Pour le quatrième passage dans les Rocheuses, celui du Nord, c’est pour le retour via la Yellowhead pass.

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27 juin 2010 7 27 /06 /juin /2010 00:06

 

Dans ce pays qui n’aime pas l’infiniment petit, il faut bien quelques records.

 

The High Level Bridge

Situé à Lethbridge, ce pont ferroviaire, construit en 1909,  est le plus haut (95.7 m) et le plus long (1623 m) de ce style au monde.

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The Big Rock

Sur la route, à proximité d’Okotoks, un panneau qui indique « geological monument » et un caillou dans un pré !

Dans ma tête, un bloc erratique - Un bloc erratique est un rocher, qui s’est détaché d’un escarpement rocheux et est tombé sur un glacier. Celui-ci le transportant au fur et à mesure de son avancée ou de son recul - . Une photo mais un nuage m’a dissuadé d’aller voir de plus près. Je repars en me disant que non, c’est trop gros pour être un bloc erratique. Comme ce site est un lieu spirituel pour les amérindiens, je lis un peu plus tard qu’il s’agit bien d’un bloc erratique, le plus gros jamais connu au monde.

Je n’ai pas tout oublié de mes cours de géomorphologie !

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Le titan

Le plus gros camion au monde. Il a fini sa carrière dans la mine qu’on voit en arrière-plan.

D’une capacité de 350 tonnes.

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26 juin 2010 6 26 /06 /juin /2010 00:03

L’Alberta dispose de ressources naturelles extraordinaires qui constituent sa principale source de richesse.

Très vite, avec la création des parcs nationaux de Banff, puis de Jasper, le potentiel touristique lié à la préservation des paysages, de la faune et de la flore qui occupent les lieux a été pris en compte. On compte aujourd’hui plusieurs parcs nationaux et une multitude de parcs provinciaux.

Et effectivement, j’ai pu profiter de ces espaces et observer une faune variée, du pélican au cougar en passant par le grizzli…

L’autre façon de tirer profit de cet espace, c’est l’agriculture. D’un côté, les ranchs et les pâturages à perte de vue. Le bœuf de l’Alberta est considéré comme le meilleur du Canada. De l’autre, des plaines qui sont d’une extraordinaire facilité à exploiter pour toutes les monocultures OGM.

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En remontant vers le Nord, l’exploitation forestière constitue une ressource mais c’est surtout le sous-sol qui constitue la richesse de la province.

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On rencontre par-ci, par-là, des carrières et des mines mais on remarque surtout les derricks dans les pâturages.

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L’Alberta, c’est le deuxième champ pétrolifère au monde et le pétrole, ça rapporte. Cela rapporte tellement que se joue dans le Nord-est de la province, une vraie catastrophe écologique : l’exploitation des sables bitumineux (80 à 85 % de sables mélangés à de l’eau (5%) et à du pétrole brut (10 à 15 %).

Alors c’est grâce à cette nature que Calgary affiche ces tours flambantes et je n’ai pu m’empêcher de sourire en lisant les panneaux qui informent les touristes du recul du glacier de Columbia. Un recul en partie imputée aux activités humaines.

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Des touristes qui, pour la plupart vont repartir émerveillés par la beauté des paysages, par l’ours qu’ils auront aperçu, auront peut-être pris conscience de la fragilité des écosystèmes mais ignore la catastrophe écologique qui se joue à quelques centaines de kilomètres.

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